4ème de couverture :
Agnès Bourdin cache une blessure profonde. Elle n'a jamais connu son père, mort pendant la guerre d Algérie. Dans le service de chirurgie réputé où elle vient de décrocher un poste, des actes de malveillance troublent le quotidien de l'hôpital. Tandis que chacun suspecte tous les autres, Agnès se penche sur le passé de son père. Quel homme était-il en réalité ? Que s'est-il passé en Algérie ? D'autres événements secouent le quartier. Un tueur en série, plusieurs peut-être, rôde près de Barbès. Le commissaire Maupas mène les deux enquêtes de front, avec l'aide discrète de son collègue Machefer.
Mon avis :
Des morts en clinique, des dealers assassinés. L'histoire commence, et on est vite happé dedans.
Comme tous les livres de Olivier, il se laisse lire facilement.
Au premier abord, les éléments ne semblent pas être reliés, ce qui, j'avoue, m'a un peu perdue, mais très vite le puzzle s'assemble et on comprends.
L'écriture a évolué ; je l'ai trouvée beaucoup plus fluide et incisive. Au final, c'est un excellent policier, que l'on lit d'une traite, sans se lasser, et que j'ai dégusté avec plaisir.
Ma note : 16,5 / 20